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"Dépénalisez l'utilisation thérapeutique et encadrée de l'Iboga en France"
Yann N.
a lancé une pétition à destination de
François Hollande - Président de la République, Ministre de la Santé, Ministre de la Justice
L'iboga est une plante endémique à la forêt équatoriale d'Afrique Centrale, principalement du Gabon où elle est consommée depuis des millénaires par ses peuples (pygmées & bantous) dans un cadre traditionnel thérapeutique et mystico-spirituel.
L'Iboga communément appelé "Bois Sacré" a été classé au Gabon, par décret Présidentiel en 2000, "Patrimoine National".
Du fait de la mondialisation, des échanges entre peuples et de l'hyper communication, les vertus thérapeutiques de l'iboga se sont faites connaître dans le monde entier.
Si les peuples pygmées connaissent depuis la nuit des temps tout son potentiel, la science occidentale étudie l'iboga depuis prêt de 200 ans et ne cesse d'aller de surprises en surprises.
C'est en 1962 qu'un américain, Howard Lotsof, découvre les propriétés anti-addictives de l'ibogaïne, principal principe actif de l'iboga, et décide de conduire des expériences sur le traitement de la dépendance à la cocaïne et à l'héroïne. Les résultats sont édifiants : même lorsque le désir d'arrêter la drogue n'est pas manifesté, nombreux sont ceux qui cessent immédiatement de se droguer après une seule prise d'ibogaïne, sans aucun sentiment de manque et durant plus de 6 mois.
Mais des utilisations inappropriées de cette plante, notamment en tant que produit dopant dans le domaine du sport et lors de cures de désintoxications mal encadrées, l'iboga a été classé "stupéfiant de catégorie 4" en France en 2007 et donc sa consommation et sa promotion interdites.
Non seulement cette décision prive des centaines de milliers de toxicomanes d'avoir accès à cette plante pour se soigner mais également ce jugement porte gravement atteinte à l'identité culturelle de toute une nation, le Gabon, et des peuples pygmées pour qui l'iboga est sacré.
Je m'appelle Yann Guignon. J'ai 38 ans et suis père de 2 enfants résidant en France. Je réside pour ma part au Gabon. J'étais toxicomane et par ailleurs très malade... J'ai été soigné (sauvé) grâce à l'iboga. Mon autorité parentale à l'égard de mes 2 enfants de 8 et 11 ans vient de m'être retirée par le juge des affaires familiales du tribunal de Versailles en raison du travail de recherche que je fais sur l'iboga (considéré comme "promotion d'une drogue") et ma consommation reconnue de cette plante dans le cadre rituel traditionnel gabonais.
L'Iboga communément appelé "Bois Sacré" a été classé au Gabon, par décret Présidentiel en 2000, "Patrimoine National".
Du fait de la mondialisation, des échanges entre peuples et de l'hyper communication, les vertus thérapeutiques de l'iboga se sont faites connaître dans le monde entier.
Si les peuples pygmées connaissent depuis la nuit des temps tout son potentiel, la science occidentale étudie l'iboga depuis prêt de 200 ans et ne cesse d'aller de surprises en surprises.
C'est en 1962 qu'un américain, Howard Lotsof, découvre les propriétés anti-addictives de l'ibogaïne, principal principe actif de l'iboga, et décide de conduire des expériences sur le traitement de la dépendance à la cocaïne et à l'héroïne. Les résultats sont édifiants : même lorsque le désir d'arrêter la drogue n'est pas manifesté, nombreux sont ceux qui cessent immédiatement de se droguer après une seule prise d'ibogaïne, sans aucun sentiment de manque et durant plus de 6 mois.
Mais des utilisations inappropriées de cette plante, notamment en tant que produit dopant dans le domaine du sport et lors de cures de désintoxications mal encadrées, l'iboga a été classé "stupéfiant de catégorie 4" en France en 2007 et donc sa consommation et sa promotion interdites.
Non seulement cette décision prive des centaines de milliers de toxicomanes d'avoir accès à cette plante pour se soigner mais également ce jugement porte gravement atteinte à l'identité culturelle de toute une nation, le Gabon, et des peuples pygmées pour qui l'iboga est sacré.
Je m'appelle Yann Guignon. J'ai 38 ans et suis père de 2 enfants résidant en France. Je réside pour ma part au Gabon. J'étais toxicomane et par ailleurs très malade... J'ai été soigné (sauvé) grâce à l'iboga. Mon autorité parentale à l'égard de mes 2 enfants de 8 et 11 ans vient de m'être retirée par le juge des affaires familiales du tribunal de Versailles en raison du travail de recherche que je fais sur l'iboga (considéré comme "promotion d'une drogue") et ma consommation reconnue de cette plante dans le cadre rituel traditionnel gabonais.
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