Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur 'Tout autoriser' ou activez uniquement les 'Cookies pour une publicité ciblée '
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Nous utilisons des cookies pour analyser l'utilisation de ce site par les visiteurs et vous offrir la meilleure navigation possible. Consultez ici notre politique de Cookies.
OK
Nous pouvons sauver des entreprises de la fermeture,  Nous pouvons sauver des emplois

Nous pouvons sauver des entreprises de la fermeture, Nous pouvons sauver des emplois

1 personnes ont signé. Allons jusqu'à
50 soutiens

Clore

Finaliser votre signature

,
Pour vous désinscrire ou modifier vos données à tout instant, écrivez à unsubscribe@avaaz.org, ou utilisez le lien disponible dans chaque e-mail. Avaaz protégera vos informations personnelles et ne partage jamais les données avec des tiers.
Cette pétition a été lancée par Jean R. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Jean R.
a lancé une pétition à destination de
Monsieur Benoit HAMON, Ministre délégué à l'Economie Sociale et Solidaire et à la consommation, Monsieur Michel SAPIN, Ministre du Travail, de l' Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, Monsieur Pierre MOSCOVICI, Ministre de l'Economie et des Finances, Mesdames les Députées et Sénatrices, et Messieurs les Députés et Sénateurs
En France, tous les ans, douze mille entreprises petites et moyennes saines et bien organisées meurent en silence, faute d'avoir trouvé un repreneur, après le départ en retraite ou au décès du patron. Et la situation va s'aggraver: 223 000 dirigeants vont atteindre l'âge de la retraite dans les dix ans qui viennent.
Des savoirs faire et des compétences sont perdus et plus de deux cent mille personnes se retrouvent au chômage chaque année. Les réseaux économiques locaux et les villes sont touchés par ces fermetures.
Pourtant les salariés pourraient continuer de travailler en se portant repreneurs de leur entreprise sous forme coopérative, forme d'entreprise qui résiste le mieux dans les crises (INSEE).
Mais pour cela il nous faut une loi qui organise et facilite la cession de l'entreprise aux salariés qui veulent la reprendre en coopérative pour en poursuivre l'activité.
Comme pour les locataires ou les agriculteurs, il faut un droit préalable d’information et de préemption, pour les salariés qui choisiraient de coopérer pour sauvegarder leur entreprise et leurs emplois.
Et pour ce faire, l'argent est là.
L'épargne salariale qui est aujourd'hui orientée vers des placements spéculatifs destructeurs d'emplois pourrait être affectée à des placements facilitant ces reprises: sur 80 milliards d'euros d'épargne salariale spéculative seulement 8% seraient nécessaires!
Lors des Présidentielles cette idée a été soutenue publiquement par les candidats ou leurs représentants: CAP 21, EELV, Front de Gauche, Modem, PS, UMP.
François HOLLAND candidat en avait fait sa proposition ESS n°6, le 2 Mars 2012.

A partir de Septembre 2013, le Sénat puis l'Assemblée Nationale débattront d'un projet de loi portant reconnaissance et développement de l'économie sociale et solidaire par le ministre de l'Economie Sociale et Solidaire et de la consommation, Monsieur Benoit HAMON.
Malheureusement ce projet de loi à coté d'autres éléments très positifs, renonce à la préemption, à la priorité et même à la préférence pour se contenter d'étendre aux entreprises de moins de 50 salariés le droit existant déjà pour les plus de 50 salariés et qui a fait la preuve de son inefficacité dans le sauvetage des entreprises et des emplois.
.
Faisons tous ensemble que cette nouvelle loi organise et facilite la cession de l'entreprise aux salariés s'ils veulent la reprendre en coopérative pour en poursuivre l'activité en instaurant un droit d'information, de préemption et les moyens de son financement.
Publiée (Mis à jour )