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Pétition contre l’arbitraire et l’instrumentalisation des institutions républicaines en Mauritanie

Pétition contre l’arbitraire et l’instrumentalisation des institutions républicaines en Mauritanie

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Cette pétition a été lancée par Deida J. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Deida J.
a lancé une pétition à destination de
L'opinion publique
Depuis quelques semaines, le Groupe Bsa, propriété, d’un homme d’affaires mauritanien est la cible d’un acharnement du président Aziz. Après avoir lâché le directeur général des Impôts, Mokhtar Oud Diay, contre l’homme d’affaires, au motif d’une enquête normale du fisc, aboutissant à la surimposition de certains établissement de l’homme d’affaires eu égard aux pratiques exercées avec d’autres Groupes économiques parfois de taille supérieure, le harcèlement n’a pas discontinué. Outre donc la surimposition de l’homme d’affaires pour des raisons purement d’adversité politique, l’acharnement est allé crescendo avec le retrait des dépôts de tous les établissements publics et parapublics auprès de la Banque GBM, propriété de l’homme d’affaires. Ensuite, c’était autour de la Banque centrale –agissant sur instructions présidentielles- de refuser de débloquer un transfert de 400 millions d’ouguiyas, part de l’homme d’affaires dans la société Mattel, qu’il allouait à la Fondation qui porte son nom pour venir en aide aux déshérités et à tous les pauvres de Mauritanie afin qu’ils y soient soignés notamment contre la cataracte. Comme toutes ces tracasseries ne suffisaient pas, le président Aziz a sommé la direction des crimes économiques de se saisir de l’affaire de liquidation de MauritanieAirways pour jeter en prison, le vice-président du Groupe, qui n’assurait aucune fonction exécutive au moment des faits.
La vérité de cet acharnement contre l’homme d’affaires, Mohamed Ould Bouamattou, qui n’a qu’une finalité faire crouler le Groupe et dont les motivations restent politiquement sombres, et appelle de notre part, à tous, de dire «Non à l’arbitraire, non à l’instrumentalisation des institutions républicaines» pour assurer l’impartialité de nos juges.
Même si nous nous doutons que le président Aziz n’aura de cesse avant de faire capituler l’homme d’affaires, Mohamed Ould Bouamattou, l’opinion publique tiendra encore pour responsables de complicité tous les fonctionnaires et agents de l’Etat qui auront pris, de près ou de loin, part à la manigance orchestrée depuis le palais présidentiel pour nuire au citoyen Mohamed Ould Bouamattou pour la simple raison qu’il est aujourd’hui l’adversaire désigné du président en place. Nous nous arrogeons le droit de les poursuivre devant les tribunaux nationaux et internationaux pour leur éventuelle participation à cette entreprise programmée de liquidation d’un adversaire politique.
Signez cette pétition et faites la circuler pour contribuer à combattre l’arbitraire et le despotisme de nos gouvernants.
Nouakchott, 6 février 2013
Publiée (Mis à jour )