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Stéphane LE FOLL et Paul SALEN: la création d'un refuge et d'une fourrière

Stéphane LE FOLL et Paul SALEN: la création d'un refuge et d'une fourrière

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Cette pétition a été lancée par sandra M. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
sandra M.
a lancé une pétition à destination de
Stéphane LE FOLL et Paul SALEN

PETITION A ADRESSER A STEPHANE LE FOLL ET PAUL SALEN POUR L' OBLIGATION AUX INTERCOMMUNALITES DE CREER UN REFUGE ET UNE FOURRIERE.

Monsieur le Ministre et Monsieur le Député

Nous crions à l'aide ! Toutes les associations de défense animale sont au bord de l'implosion. Nous n'en pouvons plus !Chaque année, il y a d'avantage d'animaux abandonnés et nous ne pouvons pas tous les accueillir. Qu'adviendra t-il d'eux ?

Les communes se réunissent en communauté de communes et ont ainsi des frais de gestion réduits et des recettes plus importantes. Il est anormal qu'elles se déchargent ainsi des animaux, qui vivent dans leur territoire, sur les associations alors qu'elles pourraient construire un refuge.

Rappelons que le maire est seul responsable de la lutte contre l'errance animal.

C'est pourquoi il faut instaurer dans les obligations et charges de l'intercommunalité la création d'un refuge et d'une fourrière, ce dont toutes les municipalités devraient être pourvues.

Il est trop facile de pratiquer la politique de « manque de budget », les intercommunalités savent très bien trouver les financements nécessaires pour le projet qui les intéresse. En un mot, l'argent se trouve lorsqu'on le veut mais surement pas pour les animaux.

Un animal errant remet en cause la salubrité publique (porteurs de maladies), la sécurité (sur les routes notamment) et représente alors un danger pour l'homme et lui même. Nous en appelons donc au sens civique des communes qui se sentent sans doute concernées par la protection de ses habitants comme nous, associations, le sommes par la protection de ces animaux.

Ne faisons pas marche arrière, ils suffirait d'une simple volonté politique pour solutionner le problème des animaux errants et abandonnés.

La qualité de vie des administrés qui se plaignent de plus en plus surtout de l'errance des chats se verrait améliorée.

En plus du changement du statut juridique de l'animal, il faut impérativement d'une part penser à leur sécurité et ensuite obliger les maîtres à respecter leurs obligations (identification).

Arrêtons d'ignorer qu'en dehors de l'être humain il n'y a pas d'autres êtres dignes d'attention.

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