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Arretons les meurtres,les viols, les tortures, les vols, le genocide perpétré en Centrafraricaine par la SELEKA,

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Cette pétition a été lancée par Caroline N. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Caroline N.
a lancé une pétition à destination de
Madame Fatou Bensouda Procureure de la cour Pénale Internationa à La Haye aux Pays Bas
Le 24 mars 2013, son leader Michel DJOTODIA réussit et François BOZIZÉ, l’ancien président arrivé par un coup d’État il y a dix ans, est chassé. Lorsque la coalition armée Séléka a pris le contrôle de Bangui et s’est emparée du pouvoir en mars dernier, toute vie de famille normale a brusquement cessé. De la prise du pouvoir de la séléka le 24 mars 2013 à la reprise récente des armes par les hommes du Président déchu, François BOZIZÉ contre les autorités de transition, en passant par la dissolution de la séléka le 13 septembre 2013 par le Président de transition Michel DJOTODIA qui tentait d’opérer par cet acte un grand ménage face à certaines factions rebelles qui échappent, pour beaucoup, totalement au contrôle des autorités de transition et qui n’obéissent qu’à leurs chefs directs respectifs, le chaos va continûment grandissant. Le regain de la violence armée ne se limite plus entre les autorités de transitions et les différentes factions rebelles ou entre les diverses factions rebelles. Cette violence devient aussi inter-ethnique et même interconfessionnel. Nous rappelons que la Centrafrique compte 5,1 millions d’habitants, avec 85% de chrétiens et 15% de musulmans (dans le nord-est du pays).

Cependant, depuis l’indépendance, tous les présidents ont été chrétiens et aucun problème à connotation religieuse ne s’était encore posé jusque-là. Cette extension des violences illustre à souhait la détérioration continue de la situation sur le terrain en RCA. Toutes les organisations présentes sur le terrain (Communauté des États d’Afrique centrale CEEAC à travers la force multinationale de l’Afrique centrale (FOMAC), la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (Misca), les diverses ONG et autres) s’accordent aujourd’hui à dire que la RCA est un pays en détresse, et mieux encore, Un État sans droit. On craint en effet que la situation devenue incontrôlable, ponctuée de pillages et violences dans la capitale Bangui, affrontements confessionnels dans le nord du pays, meurtres et agressions sexuelles, ne se propage dans la sous-région.

Face à l’ampleur de la situation décrite, nous pensons qu’il faut agir autrement et de façon anticipative par le biais de la CPI. En effet, les raisons légales qui nous poussent à vous interpeller Mme la procureure, se fondent sur les articles 5 (crimes relevant de la compétence de la cour) et 7 (crimes contre l’humanité) du chapitre 2 (compétence, recevabilité et droit applicable) pour l’ouverture d’une enquête. Mme la Procureure, nous vous demandons d’ouvrir une enquête en RCA, ce sera utile à plus d’un titre. Cette utilité couvre entre autres, les aspects sécuritaire, humanitaire, économique et la lutte contre l’impunité. Ces volets qui sont le gage de reconstruction d’une paix durable dans ce pays.

À titre d’exemple, nous sommes convaincus que l’implication de votre emblème dissuasif :

- freinera et régulera, de manière préventive, à coup sur les exactions commises sur le terrain ;

- facilitera la collecte des faits sur le terrain

- accompagnera les actions des forces de défense et de sécurité et des organisations de sur le terrain ;

- déclenchera et accélèrera le processus de réconciliation dans le pays ;

- favorisera la consultation, à la fois, des forces militaires et politiques, sans oublier la société civile.

- évitera l’enlisement du conflit sur le terrain et sa propagation éventuelle dans la sous-région ;

- évitera un génocide de plus sur notre continent, l’AFRIQUE.

Puisse notre action toucher vos sensibilité et attention en tant qu’à la fois, mère, Africaine et Procureure de la CPI, afin que de milliers de vies soient sauvées et que la RCA retrouve la paix dans les prochains jours.



Au n om du peuple meurtris de la One Republiclique Centrafricaine



Mme. Caroline Ngo .Mbamseck .Bayiha


Activiste humanitaire des droits de l’homme
Reine Mère du développement offinso conseils traditionnel région Ashanti république du Ghana (2006)
Chevalier de l’ordre nationale du Mérite Camerounais (2010)
Prix de reconnaissance République fédérale du Nigeria (2011)
E-mail: lydiafoundation@gmail.com
FCBK : https://www.facebook.com/stichtingLydiaFoundation?ref=hl

Père Aurelio Gazzera


Caritas Bozoum
BOZOUM - Centrafrique
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