×
En finir avec le pôle emploi
Balthazar P.
a lancé une pétition à destination de
Aujourd'hui le pôle Emploi associe une entité chargé de l'assurance chômage et une seconde chargé de la "gestion de la liste des demandeurs d'emploi".
La mission d'assurance chômage serait toujours mieux géré par une vraie compagnie d'assurance. Les plus avides des compagnies privées pourraient, tout en tirant d'énormes profits, réduire le coût de l'assurance chômage de 15%.
La fameuse "gestion de la liste" de l'ex-ANPE ne joue plus aucun rôle sérieux : la collecte des offres d'emploi et la mise en relation avec des demandeurs se fait aujourd'hui essentiellement par le site internet du pôle emploi, et l'accompagnement des personnes ne disposant pas de l'internet ou ne sachant pas l'utiliser se fait par toutes sortes de services publics ou associatifs. Les personnes réputées employables voient leur reclassement confié à des agences de travail temporaire, et ceux qui sont réputés moins employables sont adressés à des prestataires spécialisés. Tous disposent de locaux fonctionnels et accueillants.
Les locaux du pôle emploi qui restent très fréquenté ont le plus souvent les ordinateurs en pannes, ils sont peu entretenus, ne disposent pas de toilettes, il n'y a pas d'accueil ni d'accompagnement ... Le suivi personnalisé des demandeurs d'emploi est sous-traité (formation, orientation, aide à la recherche ...) de sorte que les entretiens du pôle emploi ne sont plus que des mesures coercitives, visant à obtenir au plus vite la radiation du bénéficiaire de l'assurance chômage.
Les moyens sont conséquents, les résultats faibles ou nuisibles, les objectifs injustes : un assuré victime d'un sinistre à droit à l'indemnité pour laquelle il a cotisé (la Loi l'a obligé à cotiser).
En supprimant le pôle emploi et ne conservant que la maintenance du site internet et la supervision des dépenses sous traitées l’état peut faire l’économie de 40 000 agent à temps plein (40 000 personne d’un niveau scolaire haut dessus de la moyenne qui pourrait être occupé à des tâches plus urgentes que de brimer des chômeurs. Ce qui représente 4,5 milliards (pour environ 30 milliards pour l’assurance des chômeurs). Soit encore de quoi doubler le RSA.
La mission d'assurance chômage serait toujours mieux géré par une vraie compagnie d'assurance. Les plus avides des compagnies privées pourraient, tout en tirant d'énormes profits, réduire le coût de l'assurance chômage de 15%.
La fameuse "gestion de la liste" de l'ex-ANPE ne joue plus aucun rôle sérieux : la collecte des offres d'emploi et la mise en relation avec des demandeurs se fait aujourd'hui essentiellement par le site internet du pôle emploi, et l'accompagnement des personnes ne disposant pas de l'internet ou ne sachant pas l'utiliser se fait par toutes sortes de services publics ou associatifs. Les personnes réputées employables voient leur reclassement confié à des agences de travail temporaire, et ceux qui sont réputés moins employables sont adressés à des prestataires spécialisés. Tous disposent de locaux fonctionnels et accueillants.
Les locaux du pôle emploi qui restent très fréquenté ont le plus souvent les ordinateurs en pannes, ils sont peu entretenus, ne disposent pas de toilettes, il n'y a pas d'accueil ni d'accompagnement ... Le suivi personnalisé des demandeurs d'emploi est sous-traité (formation, orientation, aide à la recherche ...) de sorte que les entretiens du pôle emploi ne sont plus que des mesures coercitives, visant à obtenir au plus vite la radiation du bénéficiaire de l'assurance chômage.
Les moyens sont conséquents, les résultats faibles ou nuisibles, les objectifs injustes : un assuré victime d'un sinistre à droit à l'indemnité pour laquelle il a cotisé (la Loi l'a obligé à cotiser).
En supprimant le pôle emploi et ne conservant que la maintenance du site internet et la supervision des dépenses sous traitées l’état peut faire l’économie de 40 000 agent à temps plein (40 000 personne d’un niveau scolaire haut dessus de la moyenne qui pourrait être occupé à des tâches plus urgentes que de brimer des chômeurs. Ce qui représente 4,5 milliards (pour environ 30 milliards pour l’assurance des chômeurs). Soit encore de quoi doubler le RSA.
Publiée
(Mis à jour )
Signalez cette page comme inappropriée
Il y a une erreur lors de la transmission de vos fichiers.